aprés mon échec aux élections de modo j'ai réussi a faire ma 1er news !
l'émotion met venu quand je me suis rendu compte que j'écrivait ma 1er news !
je tiens a remercier mon amour de toujours mon chére et tendre popovych
et tout qui mon soutenu !
Dopage - Lemond a reçu des menacesMais à quoi joue la défense de Floyd Landis ? Alors que c'est elle qui avait appelé Greg Lemond à la barre jeudi à Malibu, ce dernier à créé la sensation en révélant qu'il avait été victime d'intimidation de la part du clan Landis mercredi, à la veille de son témoignage.
«Je suis ton oncle» Lemond, triple vainqueur de la Grand Boucle, a affirmé jeudi lors de la troisième journée de l'audition de Floyd Landis, contrôlé positif à la testostérone à l'issue de la 17e étape de son tour victorieux, avoir reçu un appel anonyme de quelqu'un se présentant comme son oncle. «Je n'ai qu'un seul oncle que je n'ai pas vu depuis 20 ans. J'ai alors dit "si vous voulez bien arrêter cela, c'est énervant''», a expliqué l'ancien coureur. L'homme lui aurait dit qu'il serait là à l'audience et que ce serait l'occasion de «parler de comment nous cachions ton zizi.» Cette dernière phrase a mis la puce à l'oreille de Lemond dans la mesure où, lors d'une conversation téléphonique avec Landis le 6 août dernier, il avait partagé avec celui-ci une histoire intime -en l'occurrence un abus sexuel- afin de lui montrer combien il était lourd de garder un secret. «Je lui avait alors dit, a poursuivi Greg Lemond: je ne sais pas si tu as pris ou non des substances interdites, mais si tu l'as fait, tu pourrais être celui qui sauve notre sport. Je lui ai dit que je l'encourageais à être clean. Sa réponse a été: quel bien cela ferait-il?» Greg Lemond a ensuite indiqué qu'il avait récupéré le numéro de téléphone appelant et porté plainte auprès de la police. L'appel d'où provenait l'appel n'était, selon lui, autre que celui de Will Geoghegan, ami et agent de Landis et présent lors de cette audition. Cette révélation a entraîné une suspension de séance.
Des «erreurs» dans les manipulationsLa matinée de cette troisième journée d'audition avait été marquée par le témoignage de Claire Frelat, la seconde technicienne du Laboratoire de Châtenay-Malabry, qui avait reconnu que des «erreurs» dans la procédure s'étaient parfois produites dans la manipulation des appareils de mesure lors de l'analyse de l'échantillon B prélevé après la 17e étape de la Grande Boucle. Ainsi, en raison de l'oubli de certaines opérations, les analyses avaient parfois été interrompues puis relancées. Toutefois, il n'a pas été établi que ces ces «erreurs» avaient pu entraîner des conséquences sur les résultats des analyses. (avec AFP)
Dopage - Le labo reconnaît des «erreurs»La troisième journée de l'audition de Floyd Landis à Los Angeles aura permis à la défense de l'Américain d'entendre une partie de ce qu'elle voulait. Entendre de la bouche des techniciennes concernées qu'il y avait effectivement eu des erreurs lors des analyses des échantillons positifs du vainqueur du Tour de France 2006.
Claire Frelat, la seconde technicienne du laboratoire antidopage de Châtenay-Malabry, est en effet venue témoigner jeudi pour expliquer que des «erreurs» dans la procédure s'étaient parfois produites dans la manipulation des appareils de mesure lors de l'analyse de l'échantillon B prélevé après la 17e étape de la Grande Boucle. Ainsi, en raison de l'oubli de certaines opérations, les analyses avaient parfois été interrompues puis relancées.
Mais à aucun moment de l'interrogatoire mené par l'avocat de Floyd Landis, Maurice Suh, il n'a été possible de comprendre si ces «erreurs» avient pu entraîner des conséquences sur les résultats des analyses. La journée doit se poursuivre avec le témoignage de Greg Lemond. Eddy Merckx, lui aussi sollicité, a en revanche fait savoir qu'il ne viendrait pas témoigner à Malibu.
Dopage - Landis limoge son managerL'Américain Floyd Landis, qui comparaît devant l'Agence d'arbitrage américaine indépendante pour son contrôle positif lors du Tour de France 2006, a connu une journée délicate jeudi. Suite aux révélations de son compatriote Greg LeMond, qui a affirmé avoir été menacé par téléphone à la veille de témoigner, le coureur américain a dû limoger son manager Will Geoghegan dont le téléphone a été authentifié comme ayant passé l'appel.
Les avocats de Landis ont bien tenté de faire annuler le témoignage de LeMond mais sans succès. Geoghegan devrait à son tour se présenter à la barre mais la date de son comparution n'est pas encore connue puisque les deux parties ont obtenu un délai afin de s'y préparer.
Petacchi: "Je ne comprends pas"
Forster s'invite
Classement généralAlessandro Petacchi ne décolérait pas jeudi après le sprint. L'Italien, devancé par
Robert Forster et
Thor Hushovd sur la ligne, juge l'arrivée de la 5e étape dangereuse. Probablement à juste titre...
Robert Forster (G
ER/
Gerolsteiner): "J'ai gagné parce que j'étais le plus fort aujourd'hui, pas seulement parce que j'ai pris des risques. Le final a complètement désorganisé les équipes des sprinteurs. C'est normal, il y avait beaucoup de sprinteurs qui voulaient gagner. Moi-même, j'ai eu un tête-à-tête avec
Napolitano qui m'a serré contre les barrières. Pour moi, le plus important, c'est d'avoir les jambes. Que la route soit droite ou qu'il y ait des virages, cela m'importe peu. L'an dernier, à Milan, c'était mon premier grand succès. Cette fois, la concurrence est plus relevée. Je me rends compte que j'ai progressé. Un nouveau
Zabel ? Non, je m'appelle
Forster.
Zabel a gagné tant et tant de courses."
Thor Hushovd (N
OR/
Crédit Agricole): "Je ne suis pas passé loin. Je suis content d'avoir pu me bagarrer enfin dans un sprint, mais j'aurais vraiment aimé gagné celle-là, le jour de la fête nationale norvégienne. Au moins je sais maintenant que je suis de retour en forme. J'espère pouvoir remporter une étape prochainement. La veille, je me sentais vraiment bien, même dans l'ascension du Montervergine. C'est bon signe."
Alessandro Petacchi (
IT
A/
Milram): "Dans le dernier kilomètre, on roulait à 60 à l'heure et il y avait une courbe en "s". Je ne comprends pas que l'on ne puisse pas trouver 500 mètres de ligne droite."
Danilo Di Luca (
IT
A/
Liquigas): "Un final en descente jusqu'au dernier kilomètre, c'est toujours assez dangereux. Je ne suis pas resté à l'avant, je n'ai pas voulu prendre de risques. J'avais dit que j'étais prêt à laisser le maillot rose. Mais une échappée est partie dès le début et, ensuite, ce sont les équipes des sprinteurs qui ont travaillé. Nous, on n'a eu qu'à rester dans les roues. La prochaine étape, ce sera différent. Il y aura sûrement une échappée mais, vu le parcours, elle ira sans doute au bout."
Mikhail Ignatiev (
RU
S/
Tinkoff): "J'ai encore essayé. L'équipe était très motivée aujourd'hui, mais elle l'est tous les jours. Je sors des Mondiaux sur piste et je suis en très bonne condition. Je savais que ce serait très difficile mais si on ne tente rien, on n'a rien."